Une posture victimaire

Sur le site du Monde, par Gilles Kepel, politologue et professeur à Sciences Po.

Au sujet de l’"Islamophobie" :

Se développe une idéologie qui "ne sert à ceux qui forcent ainsi le trait qu’à construire des positions de pouvoir dans le champ intellectuel pour les premiers, religieux pour les seconds, ..."

"... Nos compatriotes, musulmans ou non, méritent mieux que ces débats qui veulent les prendre en otage de causes particulières...."